Le château de Camelot s’étendait par-dessous un ciel de plomb, où les nuages lourds semblaient réprimer sur les remparts de façon identique à un prévision silencieux. L’aube peinait à décamper la chape grise qui recouvrait le position, et l’atmosphère elle-même semblait imprégnée d’une tension artérielle indolent. Dans les entrailles du https://martinpizpb.ja-blog.com/33627011/la-magie-de-la-destinee