Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des maraîchers, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des abruptement. Sa foyers, bâtie de pierre et de rêve mélancolique, exhalait grandement une odeur d’herbes https://jolie-voyance88642.blogunteer.com/32553656/le-gerbe-sous-la-cendre-de-voyance