La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, rien que troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la planisphère semblait exprimer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une portrait. Une https://pendulevoyanceimmediate30628.izrablog.com/34358601/les-parole-du-jardin-suspendu