Le soleil s’écrasait sur les perles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient tangent de la carcasse rouillée d’une vieille cabine téléphonique. Posée seule au maximum d’une perspective oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, chaque dimanche à midi, une corne brisait https://zionxiosv.activablog.com/33051794/la-cabine-du-septième-aube