Dans les ruelles étroites d’un luynes futur proche, défiguré par les chambardements brutales et les flux touristiques automatisés, une formes ésotérique arpentait les trottoirs à l’aube. Elle ramassait ce que mes amies ne voyaient plus : un gant troué, un tesson d’écran, une poignée de porte rouillée, un casque fendu, https://emiliogtbhl.canariblogs.com/le-fredonnement-du-cr-49059307