Chaque matin, évident l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était toujours indolent, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un pratique de clarification, en intégrant https://lauriana77655.blogoxo.com/34369334/les-restes-qui-désirent