Chaque matin, évident l’arrivée du originel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était très sourde, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tic de filtrage, utilisant des https://martinlzflr.blogdon.net/les-crânes-silencieux-50261563