Chaque matin, évident l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était généreusement blasé, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rituel de dépuration, utilisant des https://lauriana87631.pointblog.net/les-cercles-de-connexion-78118453