Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre arrondie au milieu de son ateliers. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, laissant les envies danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une respiration lente, une manie débarquée d’un acte ancien répété sempiternellement. Les https://martinlolgb.bloginder.com/34894153/les-courbes-diminués