À Toulon, loin des plages fréquentées et des parties touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le fée, vivait une masculinité que l’on appelait normalement Liora. On disait d’elle qu’elle savait lire le destin non dans les cartes, ni dans les runes, mais dans les citations https://fernandolpolh.csublogs.com/41263508/la-matière-qui-satisfait