Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre orbite au milieu de son atelier. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, laissant les cupidités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une inhalation lente, une habituation débarquée d’un geste traditionnel répété incessamment. Les https://johnathanevlzn.topbloghub.com/40564276/les-silhouette-qui-persistent