Le carnet du soldat, désormais noirci de annotations fiévreuses, reposait limitrophe de la radio. Il avait passé la nuit à racoler une faille dans le message logé, à démonter mentalement tout élément de la contagion. Le pseudonyme entendu était le sien, assidu d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://augustbainq.snack-blog.com/33865009/le-nombre-froid